« Innu Nikamu pour nous, c’est notre premier essai qui pourrait nous mener pour un festival interculturel annuellement », lance le maire de Pointe-aux-Outardes, Julien Normand.
Se disant une municipalité « tissée serrée », M Normand voit cette opportunité comme étant une façon de rassembler les populations issues de toutes les cultures. « Nous pouvons offrir cette journée grâce à nos citoyens et nos organismes qui s’impliquent », précise le maire.
Dans les dernières années, des arrivants de différents pays sont venus s’installer dans la municipalité et M Normand souhaite les accueillir en leur laissant la possibilité de partager leur culture.
Julien Normand rappelle à toutes les personnes qui souhaitent offrir un service ou une activité que Pointe-aux-Outardes offrira gratuitement les infrastructures pour le bien de sa population. « On veut que les gens se sentent bien chez nous », ajoute-t-il.
Le 20 juillet, dès 8 h, le traditionnel brunch de la FADOQ sera servi tout l’avant-midi. Jeux gonflables, marché public, animation, bricolage, maquillage ainsi que spectacles, cours de danse et activités culturels seront au programme.
À compter de 18 h, les artistes autochtones et allochtones tels, que Mélissa Girvan, Pako et Zachary Richard, fouleront la scène du haut du Mixbus demain soir.
Il est à noter qu’il sera interdit de boire de l’alcool et/ou de consommer des drogues. Cette règle est primordiale, puisqu’il s’agit du plus grand festival sans alcool, et ce, partout au Canada, en plus d’être un festival autochtone de taille dans tout le continent.
L’entrée est gratuite pour la journée et pour la soirée.
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