Un nouveau chef au Bistro Henri des Bergeronnes

Par Renaud Cyr 8:00 AM - 17 mai 2025
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La copropriétaire du Bistro Henri des Bergeronnes, Lise-Marie Martin et son fils Henri. Ils sont accompagnés du nouveau chef Sylvain Bailly. Photo Alice Cloutier-Lachance

Le Bistro Henri des Bergeronnes est désormais ouvert pour la saison estivale avec son nouveau chef, qui tâchera de titiller les papilles des clients avec un menu renouvelé.

Le restaurant bergeronnais en est à sa troisième année d’opération et pour l’occasion, sa copropriétaire Lisa-Marie Martin a mis le paquet.

Nouveau décor, nouveau chef et nouveau menu ont fait le bonheur des clients qui s’y sont présentés en bloc depuis l’ouverture.

« On n’a pas encore ouvert la machine à 100 %, mais il y a eu beaucoup de gens qui sont venus et les commentaires sont super bons », révèle la femme d’affaires.

Partie se concentrer sur son projet de cantine, cette dernière va déléguer à sa directrice de la restauration, Johanie Tremblay, et au chef Sylvain Bailly, arrivé comme sous-chef l’été dernier.

Le nouveau chef est originaire de France et il est installé depuis une dizaine d’années au Québec. Il a œuvré dans le domaine de la restauration en Haute-Côte-Nord depuis environ 8 ans, raconte la copropriétaire.

« Je pense qu’on est entre de bonnes mains. Sylvain se plaît dans son rôle et il aime vraiment ça jusqu’à maintenant », estime Lisa-Marie Martin.

Pour les gens de la place

L’entrepreneuse dit vouloir faire du Bistro Henri un restaurant pour les gens de la place, avec un menu qui leur ressemble.

Cet hiver, le restaurant a voulu savoir ce que les gens désiraient dans le menu à venir, et Sylvain Bailly s’en est inspiré comme il faut.

« Il ne voulait pas changer tout au complet ce que les gens connaissaient, et je trouve qu’il a bien réussi l’exercice. Je suis fière de lui pour ça », note la copropriétaire.

Pour son troisième été, Mme Martin s’attend au mieux lorsque l’équipe sera complète. « Durant l’été, le Bistro est toujours pas mal achalandé avec des gens d’ici et d’un peu partout, comme les touristes européens », indique-t-elle.

« Quand on va ouvrir la machine, je pense que ça va être un très bon été avec tout le personnel en place », termine Lisa-Marie Martin.

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