Parc national des Dunes-de-Tadoussac : les échanges avec le milieu se poursuivent

Par Johannie Gaudreault 11:00 AM - 18 mars 2021
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Des ateliers d’échange sur le futur parc national des Dunes-de-Tadoussac se sont déroulés les 10 et 11 mars par visioconférence. Les citoyens et commerçants ont pu s’exprimer et questionner les intervenants. Photo : Archives

Le ministère des Forêts, de la Faune et des Parcs (MFFP) et la Société des établissements de plein air du Québec (Sépaq) ont animé de nouveaux ateliers d’échange avec le milieu de Tadoussac en lien avec le projet de parc national des Dunes-de-Tadoussac les 10 et 11 mars.

En juillet 2020, les deux organisations responsables de la création du parc national ont présenté un premier concept d’aménagement préliminaire et ils ont mis à profit les nombreux commentaires reçus.

Selon Mme Brunet, la création d’un parc national pour le secteur des Dunes de Tadoussac permettrait « d’assurer une meilleure organisation de l’utilisation du territoire, qui est souvent très achalandé pendant la saison touristique ».

La directrice du développement des territoires à la Sépaq, Sylvie-Anne Marchand a rappelé que les cinq thématiques prévues sont de retour, soit les expériences bien-être, sable, lieu de rassemblement, randonnée et découverte.

« Toutefois, le concept a été bonifié. On a précisé des choses selon les commentaires reçus et nos visites sur le terrain. Il n’y a rien à l’échelle ou d’une précision infinie pour l’instant », a dévoilé Mme Marchand.

Plateforme de yoga, champ de hamac, promenade d’une extrémité à l’autre du site, camping, aire d’accueil, amphithéâtre multiservice, sentiers pédestres, ornithologie, astronomie et découverte de l’histoire du lieu font entre autres partie du projet de parc national.

À cette étape, les coûts et les échéanciers pour la réalisation du projet ne sont pas encore déterminés. Le concept n’a pas non plus été présenté aux autorités politiques.

« Certaines infrastructures peuvent se faire rapidement sur deux ou trois ans, mais d’autres pourraient nécessiter un peu plus de temps », juge Geneviève Brunet.

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