Les ponts de la Haute-Côte-Nord seront inspectés

Par Johannie Gaudreault 1:54 PM - 17 avril 2024
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Quatre ponts situés en Haute-Côte-Nord seront inspectés par le ministère des Transports la semaine prochaine, dont celui de Portneuf-sur-Mer (photo). Photo Wikipédia

Du 22 au 24 avril, le ministère des Transports inspectera quatre ponts situés sur le territoire de la Haute-Côte-Nord, entre Sacré-Cœur et Forestville.

Plus précisément, il s’agit des structures situées au-dessus de la rivière Sainte-Marguerite, à Sacré-Cœur (le 22 avril), de la rivière du Sault au Mouton, à Longue-Rive (le 22 avril), de la rivière Portneuf, à Portneuf-sur-Mer (le 23 avril) et du ruisseau Jean-Raymond, à Forestville (le 24 avril).

L’inspection nécessitera le camion-nacelle. La circulation sera effectuée par alternance à l’aide de signaleurs, entre 8 h et 16 h. L’entrave ne sera présente que durant les heures d’inspection.

« Les inspections concernant les ponts en Haute-Côte-Nord, sont des inspections générales, qui sont réalisées aux 2 à 4 ans », informe la conseillère en communication du ministère des Transports et de la Mobilité durable (MTMD), Caroline Rondeau.

Le MTMD dispose d’un programme d’inspection pour détecter au plus tôt les défauts qui affectent ses structures. Ainsi, il « peut prendre les mesures nécessaires afin d’assurer la pérennité des structures, ainsi que la sécurité et le confort des usagers », ajoute la porte-parole.

Ce programme permet également de recueillir toutes les données nécessaires à la planification des interventions. Il comprend des inspections annuelles et des inspections générales ainsi que des inspections particulières, au besoin.

« Lorsque les défauts détectés laissent croire qu’ils peuvent influencer très fortement la stabilité ou la capacité d’une structure, l’inspecteur doit en aviser dans les plus brefs délais les autorités ministérielles », souligne Mme Rondeau.

En présence de certains signes, une action immédiate est entreprise afin d’assurer la sécurité des usagers et limiter la progression des dommages. « En tout temps, la précaution guide le ministère dans ses décisions », assure la conseillère en communication.

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