Les Bergeronnes – Le baryton Gino Quilico a donné le coup d’envoi du 11e Festival intime de musique classique des Bergeronnes le mercredi 13 juillet dernier en l’église Notre-Dame-de-Bon-Désir des Bergeronnes. Un moment unique et magistral qui a donné lieu unanimement à des éloges dithyrambiques.
Accompagné du pianiste Dominic Boulianne, le chanteur d’opéra a interprété près d’une vingtaine de pièces, allant des classiques italiens au répertoire de Claude Léveillé, en passant par Les planchers fragiles de Daniel Seff et Francis Cabrel.
Accessible et attachant, Gino Quilico n’a pas fait mentir l’adage à l’effet que les plus grands sont souvent les plus simples. Lui qui s’est produit sur les plus prestigieuses scènes d’opéra du monde, qui a chanté avec les plus illustres chefs d’orchestre, a vanté la beauté du paysage bergeronnais et la gentillesse de ses hôtes.
Arôme de fraîcheur
La 2e journée du Festival intime, soit le jeudi 14 juillet, sur le thème Fraîcheur & Liberté, Mélissa Dufour (piano) et Guillaume Boulianne (alto), ont offert un concert original aux accents impressionnistes. À l’aube de leur carrière, Mélissa et Guillaume sont originaires du Saguenay-Lac-St-Jean et bien sûr issus du Conservatoire de musique du Saguenay. Ils ont mérité le titre de Bousiers 2016 du Festival pour avoir contribué, de façon active, au rayonnement de la musique classique dans leur communauté.
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